Bonjour à tous, j’espère que vous allez bien ? La semaine
dernière, je vous ai parlé de Scribay. Pourquoi est-ce que
je vous parle de cette plate-forme ?
J’ai eu l’heureuse et
l’agréable surprise de recevoir un charmant mail d’Arnaud
Lavalade, le CEO (Chief executive officer, équivalent de PDG mais de
plus en plus utilisé en France et dans le monde) de Scribay pour
essayer la version Scribay Premium. Comme je terminais mon mémoire,
je n’ai pas pu m’y mettre à 100 % mais voici chose faite à
partir de maintenant ! Je vous en parle après l'interview que j'ai eu l'occasion de réaliser.
Quoi de mieux pour connaître un site que de savoir qui est derrière l’idée ? Il s’agit d’Arnaud Lavalade et de Manuel Darcemont.
1) Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ainsi que Manuel Darcemont ? Études, passions, musique préférée, auteurs préférés, romans préférés ?
Manuel et moi sommes deux amis de longue date. Nous avons le même âge et nous nous sommes retrouvés à Paris en même temps, après avoir quitté nos provinces natales. Manuel est l’ingénieur du duo et s’occupe de tous les aspects techniques de la plateforme. Il l’a conçue intégralement. C’est un véritable artisan du code ! Pour ma part, j’ai étudié l’économie et je m’occupe de la communication interne comme externe de Scribay.
Nous prenons toutes les décisions à deux et chacun fait confiance à l’autre selon ses domaines de prédilection et ses préférences. Nous avançons avant tout avec passion.
Nous nous rejoignons également dans notre vision de l’époque. Des tendances actuelles nous déplaisent, comme le culte du narcissisme, l’addiction aux regards extérieurs ou même le mépris du temps long. Scribay repose aussi sur ce terrain commun. La plateforme serait différente si nous ne souhaitions pas répondre à ces problèmes.
Nous sommes conscients que cela peut être frustrant, mais nous préférons éviter d’exposer nos goûts personnels.
Scribay comprend des clins d’œil à certains auteurs que nous apprécions, comme Victor Hugo, Chuck Palahniuk, Philip K. Dick ou Douglas Adams. Mais cela reste rare, discret et nous avons privilégié des références assez consensuelles et répandues. Entre autres, Scribay Premium cite ou reprend explicitement Alexandre Dumas, Bram Stocker ou même Vladimir Propp.
Notre blog peut aussi parler de Borges, d’Hemingway… ou même de Hunter S. Thompson, comme dans notre dernier article de conseils sur l’écriture d’un roman. Nous aimons beaucoup ces auteurs mais nos choix relèvent avant tout de logiques pédagogiques, techniques et artistiques.
2) D’où est venue l’idée de Scribay ?
Nous avons eu l’idée de Scribay alors que nous nous lancions des défis littéraires ! L’idée était de nous stimuler mais aussi de lutter contre la procrastination. Un défi permet de se décomplexer, de laisser vagabonder son imagination dans un cadre donné et de s’habituer à travailler avec des délais précis.
Nous voulions partager cela. Avec les défis littéraires, n’importe qui peut écrire une histoire. C’est un exercice simple qui peut être léger et amusant. Et cela peut donner de très beaux récits ! Frankenstein de Mary Shelley a été écrit en réponse à un défi littéraire de Lord Byron, par exemple.
3°) Donnez-moi un exemple de défi littéraire que vous vous lanciez.
Je me souviens d’un texte que Manuel avait dû écrire sur « 24 heures dans la vie d’un canard ». De mon côté, j’ai le souvenir d’une pièce de théâtre sur le thème « levure ». Les textes en eux-mêmes m’ont moins marqué que l’époque et les conditions durant lesquelles nous les écrivions.
À l’époque, les défis nous ont permis de continuer à écrire alors que nous étions de jeunes cadres devant faire leurs preuves. Je me souviens d’invitations à des soirées déclinées parce que nous devions finir des textes. De notes prises dans les transports en commun afin de composer une réponse à un défi le soir même. De longs échanges sur les meilleures façons de nous organiser afin de dégager du temps pour écrire.
4°) Comment est venu ce nom : Scribay ? Un lien certainement avec scribe …
C’est cela. Ses racines restent compréhensibles par tout le monde. Mais nous l’avons surtout choisi parce qu’il nous plaisait. Le nom se suffit à lui-même. Il sonne bien à l’oreille.
Quoi de mieux pour connaître un site que de savoir qui est derrière l’idée ? Il s’agit d’Arnaud Lavalade et de Manuel Darcemont.
1) Pourriez-vous vous présenter en quelques mots ainsi que Manuel Darcemont ? Études, passions, musique préférée, auteurs préférés, romans préférés ?
Manuel et moi sommes deux amis de longue date. Nous avons le même âge et nous nous sommes retrouvés à Paris en même temps, après avoir quitté nos provinces natales. Manuel est l’ingénieur du duo et s’occupe de tous les aspects techniques de la plateforme. Il l’a conçue intégralement. C’est un véritable artisan du code ! Pour ma part, j’ai étudié l’économie et je m’occupe de la communication interne comme externe de Scribay.
Nous prenons toutes les décisions à deux et chacun fait confiance à l’autre selon ses domaines de prédilection et ses préférences. Nous avançons avant tout avec passion.
Nous nous rejoignons également dans notre vision de l’époque. Des tendances actuelles nous déplaisent, comme le culte du narcissisme, l’addiction aux regards extérieurs ou même le mépris du temps long. Scribay repose aussi sur ce terrain commun. La plateforme serait différente si nous ne souhaitions pas répondre à ces problèmes.
Nous sommes conscients que cela peut être frustrant, mais nous préférons éviter d’exposer nos goûts personnels.
Scribay comprend des clins d’œil à certains auteurs que nous apprécions, comme Victor Hugo, Chuck Palahniuk, Philip K. Dick ou Douglas Adams. Mais cela reste rare, discret et nous avons privilégié des références assez consensuelles et répandues. Entre autres, Scribay Premium cite ou reprend explicitement Alexandre Dumas, Bram Stocker ou même Vladimir Propp.
Notre blog peut aussi parler de Borges, d’Hemingway… ou même de Hunter S. Thompson, comme dans notre dernier article de conseils sur l’écriture d’un roman. Nous aimons beaucoup ces auteurs mais nos choix relèvent avant tout de logiques pédagogiques, techniques et artistiques.
2) D’où est venue l’idée de Scribay ?
Nous avons eu l’idée de Scribay alors que nous nous lancions des défis littéraires ! L’idée était de nous stimuler mais aussi de lutter contre la procrastination. Un défi permet de se décomplexer, de laisser vagabonder son imagination dans un cadre donné et de s’habituer à travailler avec des délais précis.
Nous voulions partager cela. Avec les défis littéraires, n’importe qui peut écrire une histoire. C’est un exercice simple qui peut être léger et amusant. Et cela peut donner de très beaux récits ! Frankenstein de Mary Shelley a été écrit en réponse à un défi littéraire de Lord Byron, par exemple.
3°) Donnez-moi un exemple de défi littéraire que vous vous lanciez.
Je me souviens d’un texte que Manuel avait dû écrire sur « 24 heures dans la vie d’un canard ». De mon côté, j’ai le souvenir d’une pièce de théâtre sur le thème « levure ». Les textes en eux-mêmes m’ont moins marqué que l’époque et les conditions durant lesquelles nous les écrivions.
À l’époque, les défis nous ont permis de continuer à écrire alors que nous étions de jeunes cadres devant faire leurs preuves. Je me souviens d’invitations à des soirées déclinées parce que nous devions finir des textes. De notes prises dans les transports en commun afin de composer une réponse à un défi le soir même. De longs échanges sur les meilleures façons de nous organiser afin de dégager du temps pour écrire.
4°) Comment est venu ce nom : Scribay ? Un lien certainement avec scribe …
C’est cela. Ses racines restent compréhensibles par tout le monde. Mais nous l’avons surtout choisi parce qu’il nous plaisait. Le nom se suffit à lui-même. Il sonne bien à l’oreille.
Voilà pour l'interview, je remercie beaucoup Arnaud Lavalade et Manuel
Darcemont pour les réponses à mes questions. J'espère qu'elle vous aura permis de les connaître un peu mieux.
Il est maintenant temps de vous parler de mes projets. Scribay Premium me donne envie d'écrire, il n'y a aucun doute là-dessus.
J'ai commencé par découvrir les "défis" du site. J'ai répondu à un, il s'agissait "Quel objet serais-je ?" de Neru. J'ai été assez inspirée pour faire mon texte, environ 500 mots puis j'ai reçu des commentaires, des annotations car la communauté permet aux autres lecteurs de laisser un "j'aime", un commentaire ou d'annoter le texte pour permettre son amélioration et j'ai trouvé l'idée géniale. J'ai donc reçu quelques conseils et Neru a eu la gentillesse de me demander la suite. Alors, je l'ai écrite. Aujourd'hui, j'ai 8 chapitres et des dizaines d'idées. Ma mère a adoré le début et j'ai très envie de continuer sur cette histoire.
J'ai un autre projet où la version Scribay Premium est encore plus utile mais je développerais dans un autre articles toutes les facettes de ce programme.
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Avez-vous déjà écrit sur Scribay ? Si oui, n'hésitez pas à me laisser le lien de votre écrit, j'irais le lire.
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-Zélie-
Merci pour cette article, je ne connaissais pas Scribay jusqu'à ce que tu en parles sur ta page :)
RépondreSupprimerN'hésites pas à venir lire les pérégrinations, j'adorerais avoir ton avis :)
SupprimerJe me mets le lien de côté pour lire ça *.*
SupprimerSuper :)
SupprimerTrès intéressant ! Je vais aller lire le reste :-) !
SupprimerSuper :)
SupprimerAh voilà une belle découverte, j'irais faire un tour de plus près
RépondreSupprimerJ'attends ton retour :)
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