[Interview]Zoé Brisby

Bonjour à tous, j'espère que vous allez bien ? J'ai eu l'occasion de lire l'habit ne fait pas le moineau de Zoé Brisby grâce à Simplement Pro, je suis en train de lire la solitude du gilet jaune. 

Et je suis ravie de vous dire que l'auteur a accepté de répondre à quelques questions. 

Je vous les livre ci-dessous. Bonne lecture ! 

 



















1°) Bonjour Zoé, pourriez-vous vous présenter à mes lecteurs ? Il vous connaisse un petit peu à travers ma première chronique, l’habit ne fait pas le moineau.

Bonjour Zélie. Merci pour cet entretien.

Je suis une jeune auteure, j’ai écrit deux romans « La solitude du gilet jaune » et « L’habit ne fait pas le moineau ». Je suis en train de travailler sur mon troisième…

Dans mes romans, j’aime mêler humour et sagesse. Des situations exceptionnelles pouvant révéler le meilleur de chacun de nous.

2°) Comment en êtes-vous venu à écrire ?

J’ai toujours aimé écrire. Mais, je n’avais jamais pris le temps de le faire. Nous avons toujours mille choses à faire et il difficile de dégager du temps pour soi. Je voulais écrire ce que j’avais envie de lire. Je voulais faire du bien, que les lecteurs s’évadent de leur quotidien, qu’ils rient et qu’il reste quelque chose de leur lecture. Je voulais qu’une fois le livre fermé, il garde le sourire et que les quelques petites perles de sagesse déposées de ci de là les aident à se sentir mieux.

J’écris des feel-good intelligents. J’aime amener le lecteur à prendre du recul et à s’amuser. Sagesse et humour ne sont pas antinomiques. Culture et rire s’accordent même très bien !

3°) Parlez-nous un petit peu de chacune de vos publications.

« La solitude du gilet jaune » raconte l’histoire d’une jeune femme dont la vie tourne autour de son travail chez Poplait géant du yaourt qui, un jour, va tomber en panne. Cette mésaventure va créer une pause qui va lui permettre de réfléchir à sa vie, son avenir, ses projets. Sur la route, elle va rencontrer de nombreux personnages truculents qui vont l’aider (ou pas !) et faire évoluer sa vision de la vie. Parallèlement, se noue une intrigue autour de son travail (il se passe quelque chose de louche chez Poplait !) mais aussi dans sa vie familiale… Je n’en dis pas plus. Du rire, du suspens, de l’émotion et une pointe de philosophie !

Ce roman a été repéré par plusieurs éditeurs avant que je décide de signer chez City Editions. Il est sorti en mai 2017 et est disponible en librairie et sur Amazon.

« L’habit ne fait pas le moineau » raconte la rencontre entre Maxine, vieille dame excentrique et Alex, jeune homme triste. Ils feront ensemble un covoiturage qu’ils ne sont pas prêts d’oublier ! Chacun des deux va essayer de redonner le sourire à l’autre. C’est une belle histoire qui mêle humour et émotion. Les sujets abordés sont difficiles mais l’intrigue permet de les alléger. C’est un subtil mélange ! Les lecteurs me disent souvent qu’ils se sont beaucoup attachés à Maxine et Alex et qu’ils se sont reconnus dans chacun d’eux. Les émotions transmises nous parlent à tous et on se sent proche d’eux. D’ailleurs, on me demande très souvent le chapitre supplémentaire que je propose en plus. C’est un petit bonus cadeau pour clore l’histoire en beauté.

Quant à comprendre le titre du livre, il faut lire le livre…

« L’habit ne fait pas le moineau » est disponible sur Amazon.

4°) Comment faites-vous pour trouver l’inspiration pour vos romans ? 

 

Pour mon premier roman, « La solitude du gilet jaune », ça a été facile. Je suis vraiment tombée en panne ! J’ai moi aussi porté le gilet jaune… En racontant ma journée de galère au bord de la route à mes proches, j’ai conclu en disant « c’était vraiment la solitude du gilet jaune ». Et voilà, c’était parti. En ce qui concerne l’ambiance de travail, j’ai réellement travaillé chez un géant de l’agroalimentaire. Bien sûr, il ne m’est pas arrivé toutes les aventures décrites dans le roman !

Pour « L’habit ne fait pas le moineau », l’idée est venue lors d’une discussion. J’ai commencé à parler et la trame est apparue. Je ne savais pas encore exactement ce qui allait se passer pour Maxine et Alex mais j’aimais le côté intergénérationnel et le fait d’aborder de façon légère des sujets difficiles. Mes proches m’ont dit « tu ne peux pas écrire une comédie sur l’euthanasie et la dépression ! ». Eh bien, si ! Il faut cependant trouver le bon équilibre entre les passages sérieux et ceux plus drôles.

5°) Avez-vous des moments spécifiques pour écrire ? Le matin après un bon café ? Pendant des périodes bien définies ? 

Au début, j’avais un petit rituel. Il fallait que je sois seule et au calme pour écrire. J’écrivais souvent tard le soir. Et puis, je me suis mise à écrire pendant mes temps libres, au déjeuner, dans les transports… J’ai toujours sur moi un petit carnet dans lequel je note mes idées qui arrivent aussi vite qu’elles s’échappent 😉.

Lorsque je suis en train d’écrire un roman, j’essaie d’écrire tous les jours. Quand je suis dans la phase intermédiaire entre l’ancien roman et le nouveau j’écris quand les idées me viennent.

6°) Un dernier mot pour inviter mes lecteurs à vous lire.

J’ai adoré écrire mes romans, j’espère que vous adorerez les lire ! J’aime parler avec mes lecteurs, alors n’hésitez pas à me rejoindre sur ma page facebook 😊 (Zoe Brisby-Auteur)

Je remercie Zoé Brisby pour ses réponses à l'interview et je vous invite à aller découvrir ses livres, ils sont super ! 

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Avez-vous déjà lu un des deux romans cités ? Connaissiez-vous Zoé Brisby ? Avez-vous pu la découvrir un peu plus ? 

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-Zélie-